Ashwiin Higuera - 09 Octobre 2023 

INSÉCURITÉ : Montée de la violence et État d'Urgence déclaré

Retour sur ces dernières semaines très mouvementées qui ont culminées le soir su 7 octobre avec l'annonce de l'État d'Urgence accompagnée d'une conférence de presse du gouvernement.

Ces dernières semaines ont été mouvementées à San Andreas. Si les incidents et crimes divers ne sont pas rares, l'accumulation de plusieurs événements qui ont touché des employés d'entreprises sur leur lieu de

travail est alarmante. Lorsque l'on fait le point sur l'ensemble des incidents de la semaine on ne peut qu'être en admiration et reconnaissant face à l'abnégation dont ont dû faire preuve les forces de l'ordre.

Liste des derniers actes criminels
Source Weazel News

27/09/2023 | Règlement de compte sur le parking du Benny's qui blessera un employé
28/09/2023 | Braquage d'employés G6 et vol de leur véhicule par des membres de la Mano
29/09/2023 | Fusillade entre Aztecas et Vagos devant l'entreprise Ron Petroleum puis dans le quartier Vagos
30/09/2023 | Fusillade entre Aztecas et Vagos face de l'Aciérie
30/09/2023 | Braquage de banque en  7175 avec 4 otages par le groupe des Ballas
01/10/2023 | Agression d'un employé du Yellow Jack pour raison "ce n'est pas contre toi, mais tes patrons"
01/10/2023 | Course de rue illégale dans Los Santos
01/10/2023 | Fusillade place des cubes entre les Vagos et les Aztecas
02/10/2023 | Fusillade entre les Sentinelles et les Neo Triada en 8105
02/10/2023 | Passage en Etat d'Alerte sur Los Santos
02/10/2023 | Rixe à l'arme blanche en 9156 impliquant le groupe des Southland
03/10/2023 | Prise d'otage et torture de 2 agents  LSPD par les Lost en représailles d'un événement ayant eu lieu la veille
03/10/2023 | Prise d'otage de 4 agents de police et un journaliste par des membres de la Mano
05/10/2023 | Braquage de banque en 7193 avec 4 otages par les membres des Families
05/10/2023 | Fusillade de type "Drive-by" au Zombie Car
05/10/2023 | Vol d'un véhicule du Weazel News et distribution de son contenu à d'autres entreprises
05-06/10/2023 | Menaces de mort sur agents du BCSO
06/10/2023 | Passage en Etat d'Alerte niveau 2 sur Blaine  County
06/10/2023 | Enlèvement et tentative d'homicide sur la patronne du Yellow Jack par un ancien employé
07/10/2023 | Fusillade au Zombie Car - Cinq blessés dont deux employés d'entreprises
07/10/2023 | Fusillade entre les Vagos et les Aztecas

On peut identifier deux événements clés qui ont fait boule de neige sur les prochains jours. Les premiers événements étant les fusillades proches de lieux publics et lieux d'entreprise privés couplé aux nombreuses blessures subies par les forces de l'ordre qui poussera le maire M. Balthazar à placer son comté en Etat d'Alerte. Quelques jours plus tard c'est au tour du maire 

de Blaine County, M. Zilman de faire de même pour les mêmes raisons. La colère gronde également niveau Commission des Chefs d'Entreprise et Commission des Employés qui feront leurs communiqués déplorant le manque de réactivité du gouvernement.

Nous n’allons pas rester inactifs si le gouvernement n’a pas envie de se bouger.

Soucieux de comprendre la situation globale et ses aboutissants nous sommes allé nous renseigner auprès des acteurs principaux des institutions en commençant par le maire de Los Santos, M. Balthazar.


Q : Il y aurait-il une raison à la récente montée de la violence ?

“Là tout de suite j’en ai pas à vous donner, ce que je pourrai vous dire c’est que c’est une recrudescence de guerres entre criminels. Il y a plusieurs guerres entre les criminels et ils viennent entrer en conflit à côté des civils.”


Q : Nous avons récemment vu des courses de rue et des vols de véhicules d’entreprises, dont le Weazel News pour distribuer leur marchandise aux citoyens…Il y a-t-il une prise de confiance de la criminalité ou diriez vous que ce sont les guerres de gangs qui accentuent plus la situation ?

“Je dirais un mélange des deux. Pendant que les grands groupes se font la guerre, de plus petits groupes en profitent pour “prouver qui ils sont”.”


Q : Il y a-t-il des mesures qui ont été prises au niveau de la sécurité ?

“On applique la politique de sécurité décidée par le gouvernement. Avec l'État d’Urgence les forces de l’ordre vont pouvoir avoir plus de souplesse sur certains points.”


Car effectivement, coup de théâtre, quelques minutes après la publication du communiqué de M. Balthazar, c'est au tour du gouvernement de publier un communiqué déclarant l'État d'Urgence pour une durée de 48H.

“Si le gouvernement n'avait pas fait d’alerte, la mairie en aurait fait une avec des mesures qui permettrait de contrer la criminalité." Nous expliques M. Balthazar, "Nous n’allons pas rester inactifs si le gouvernement n’a pas envie de se bouger. De plus, il est vrai que nous avions demandé l'État d’urgence au gouvernement, par contre le gouvernement ne nous fait aucun retour sur les détail de cette état d'urgence nous l'avons appris en même temps que les citoyens.”


“De notre côté, nous étions déjà en État d’Alerte." nous racontes à son tour le maire de Blaine County, M. Zilman. "Depuis vendredi 15h pour une durée de 48H à la base puis cette dernière a été supplantée par l’Etat d’Urgence du gouvernement.”


Q : Selon vous cet Etat d’urgence est-il nécessaire et utile ? Ou y aurait-il mieux à faire ?

“M. Balthazar et moi avons fait la demande d’un état d’urgence dans les canaux internes après les événements du Zombie Car d’aujourd’hui et suite 

à ce qui s’est passé dans les jours précédents. L'État d’Alerte n’étant apparemment pas suffisamment dissuasif. Pour ce qui est de son utilité je peux répondre la même chose qu’au Weazel News, ce n’est pas un "outil magique". Si des personnes veulent réellement prendre des armes et se tirer dessus il me semble impossible de les en empêcher complètement. L'État d’Urgence malgré tout amène de nouveaux outils qui sont plus dissuasifs que l'État d’Alerte, notamment en s’attaquant là où ça fait mal : le portefeuille. Dans des cas où les personnes sont arrêtées et amendées ce qui touche les terrains d’entreprises privées sont multipliés par deux, que ce soit en temps ou financièrement, et personne ne possède des fonds illimités.


Q : La politique zéro a-t-elle été demandée ?

“Non la mairie de Blaine County n’a pas demandé de politique zéro à l’encontre d’un groupe en particulier, c‘est une initiative du gouvernement. La demande que j’ai faite concernait l'État d’Urgence et j’espérais bien voir la mention de ce qu’il se passe sur les terrains d’entreprises et qu’une multiplication soit appliquée.”

Nous agirons pour le bien des agents même s’il faut aller jusqu’à poser un préavis de grève.

Nous avons interrogé l'Etat-Major du BCSO et le Lieutenant Siegman a accepté de nous apporter des réponses sur les événements de ces derniers jours. 


Q : Il y a-t-il une raison derrière la montée de la violence ou diriez-vous que nous sommes dans une tendance "lambda" ?

“Je ne vais pas vous cacher que la violence reste notre quotidien. Là, le ton monte entre criminels ce qui explique l'État d’Urgence. Vous n'êtes pas sans savoir qu’il y a également eu la prise d’otage au Yellow Jack. De plus, dernièrement il y a eu des fusillades dans les entreprises. Derrière cela qu’est-ce qui pourrait justifier, je ne pourrai pas vous répondre.”


Q : Nous avons vu des événements comme des courses de rue, des vols de véhicules weazel news pour distribuer des journaux, il y a -t-il une prise de confiance dans la criminalité ou est-ce un enchaînement de circonstances ?

“Je pense que c'est un concours de circonstances, dans l’idée ce sont deux cas à part : une fusillade et des petits malins qui se sont “amusés” à jouer les facteurs. Sachez que les Forces de l’Ordre sont conscientes qu’en ce moment les civils peuvent être pris pour cibles et derrière on essaye de dispatcher au mieux les unités pour assurer votre protection.”

Un autre événement a été déclencheur du côté des forces de l'ordre : la prise d'otage et acte de torture sur les agents LSPD par le groupe des Lost le 03 octobre. Les peines prononcées durant l'incident, jugées trop laxistes par le SDP (Syndicat de Police) a entraîné leur conférence de presse quelques jours plus tard sur le Weazel News.


Interrogé par L'Indépendant sur l'évolution de la situation, M. Lamb président du syndicat nous répond. "Au vu de la soirée d'hier (7 octobre) je ne peux plus dire que trop peu de peine fut prononcée. Je dirai plus que j'attendrai 4-5 jours pour demandé des retours aux agents et communiquer par la suite dessus. La discussion n’a jamais été coupée de notre côté et une communication interne est très vite parue de la part du Bureau du Procureur à destination des agents."

Q : Qu’attendez-vous du gouvernement ?

"Comme je l’ai dit au Weazel News, je ne souhaite plus communiquer avec le gouvernement car la seule chose qu’il nous avait promise n’a pas été tenue. Ils devaient communiquer sur l’avancement fait entre les premières choses proposées, et ce qui a été retenu pour la publication de la politique

sécuritaire. On parle d’un travail de 3-4 réunions dont une avec les syndicats, a discuter plus d’une heure et demie avec eux pour en arriver, même si le dialogue fut compliqué par moment, à amener à une politique sécuritaire bien plus claire et accordée. Et ça n’a pas été publié. Donc à l’heure actuelle le SDP ne communiquera plus avec le gouvernement et si ça se fait ce serait par le biais de la presse mais pas de vive voix. J’avais demandé une communication pour prouver que le travail entre le gouvernement, les forces de l’ordre, médecins et le bureau du procureur a mené à un changement. Mais le gouvernement n’a pas souhaité communiquer dessus, comme sur les trois premières semaines de leur mandat, donc pour le SPD on les laisse faire ce qu’ils ont envie et nous agirons pour le bien des agents même s’il faut aller jusqu’à poser un préavis de grève."

RETOUR SUR LA CONFÉRENCE DE PRESSE GOUVERNEMENTALE DU 07/10/2023

Invité à la conférence de Presse du gouvernement, L'Indépendant vous propose une version retranscrite de la prise de parole du gouvernement, ainsi que des questions des journalistes accompagnées de leurs réponses.

CONFERENCE DE PRESSE : Prise de parole du gouvernement

"J‘aimerais revenir sur les différents événements, les différentes raisons qui nous ont poussés à appliquer l’état d’urgence aujourd’hui

J’aimerais revenir dans un premier temps vers les différents événements majeurs de la semaine à savoir les prises d’otages sur les agents des forces de l’ordre qui ont eu lieu mardi soir. Deux prises d’otages à la suite. La première au niveau des supérettes Black Cat en 8092 par la Mano et la seconde par des membres des Lost.


Il y a eu également ce jeudi un certain nombre d'événements importants notamment une banque où les preneurs d’otages ont pris des otages au niveau d’une zone d’exploitation d’entreprise directement. Il y a eu également une fusillade au niveau du zombie car de la part des groupes Lost et Mano et par la suite une seconde fusillade de la part de ces deux groupes à proximité du BCES. Et le dernier événement important de cette même soirée a été la prise d’otage au Yellow Jack d’une dirigeante par un ancien employé. Ces différents événements ont conduit le gouvernement à vouloir mettre en place différentes mesures. Nous étions en discussion pour notamment appuyer davantage la politique de sécurité des mesures qui étaient déjà en œuvre. 


A savoir, les condamnations pour tout ce qui touchait les personnes directement sur les lieux de travail et zones privées d’entreprise étaient déjà prises en compte comme des circonstances aggravantes et menaient déjà à un jugement plus dur comme ça a été le cas par exemple pour la prise d'otage du Yellow Jack où le coupable a été condamné à 345.000$ d’amende et 12h de pénitencier en considérant qu’habituellement la maximale pour ce type de crime est de 200.000$ et 8h de pénitencier. 


Dans la politique de sécurité, il y avait également le fait d'être plus dur sur les événements criminels qui avaient lieu à proximité des hôpitaux. Ce sont des mesures qui existaient déjà, que nous souhaitons appuyer davantage suite à ces différents événements avec notamment la mise en place de ce que l’on va appeler une “tolérance zéro” donc d’être d’autant plus dur et même de mettre un multiplicateur dans le cas d'agression sur les zones de travail et zones privées de l’entreprise. Nous devions voir avec le Bureau du Procureur les conditions et la mise en place de mesures plus strictes concernant la Mano et les Lost responsables d’une grosse partie de ces événements graves durant cette dernière semaine.

Gouverneure Johnson et Gouverneur Adjoint Anderson

Ce sont des mesures qui étaient déjà prévues, qui auraient dû être appliquées et dont nous avions parlé avec notamment la mairie sud et la commission employé mais pour lesquelles nous attendions de parler directement le Bureau du Procureur et qui aurait dû de toute façon être mises en place dès ce soir.


En fin d’après midi il y a eu de nouveaux événements, une agression entre les Lost et la Mano une nouvelle fois devant le Zombie Car. Situation où cette fois des employés du Zombie Car ont été blessés. C’est suite à ces événements que nous avons décidé d’appliquer directement les mesures que nous avions déjà prévues, donc accentuation et durcissement du ton contre ces attaques et la politique zéro qui est appliquée contre la Mano et les Lost pour cibler spécifiquement les groupes qui sont responsables de cette situation. Et nous avons aussi décidé de mettre en place l'État d’Urgence qui jusqu’à présent pour nous n’était pas une nécessité et n’aurait pas suffi de toute façon à lui seul à régler ou réagir à ces situations qui nécessitaient aussi d’autres mesures. Au vu de la situation et de l' aggravation encore des différents événements nous avons décidé que cette fois l'État d’Urgence était nécessaire en complément des mesures et décisions que nous avions déjà prises.


C’est pourquoi nous avons pris la décision de mettre tout cela en place dès ce soir. Ces mesures sont effectives au moins pendant 48h et par la suite nous allons aussi nous attaquer à la situation, voir comment évoluent les choses et s‘il est nécessaire de prendre d’autres décisions et d’appuyer encore sur d’autres points, nous le ferons également. "

CONFERENCE DE PRESSE : Questions des journalistes

Weazel News : Est-ce que vous avez prévu d’autres mesures que l'État d’Urgence ? À savoir, vous avez parlé de tolérance zéro, de multiplicateur. Ils seront appliqués hors État d’Urgence ou uniquement pendant ce dernier ?

“Cela sera appliqué en parallèle. La “tolérance zéro” donc le fait d’être autant plus dur sur les situations concernant les zones d’entreprises est déjà mis en place et sera renforcé. Cette mesure précise va durer dans le temps et n’est pas associée seulement à l’État d’Urgence. C’est plus l’inverse, l’État d’Urgence vient en support des autres actions qu’on va mettre en œuvre pour donner tous les moyens nécessaires aux forces de l’ordre et au Bureau du Procureur pour agir au mieux et appliquer les différentes mesures qu’on leur demande.”


WZ : Si la situation continue, s’il y a encore des agressions sur des entreprises ou des prises d'otages est-ce que vous comptez prolonger l'État d’Urgence ?

“On s’adaptera aussi à la situation, on verra les mesures qui doivent être prises et maintenues, ou non. Pour l’instant je ne peux pas encore répondre, on avisera aussi en fonction de la situation. Le but c’est de trouver des moyens qui soient efficaces et réellement dissuasifs. Pas simplement de mettre des choses en place pour la symbolique et sans que ça n’ait d’utilité derrière.”


WZ : Quels points seront à appuyer dans le futur si les actions actuelles ne sont pas efficaces ?

“Encore une fois actuellement on agit selon les situations. S’il y a encore des choses à mettre en place, on va en discuter également avec le bureau du procureur et les forces de l’ordre. Là, l'objectif était de cibler toutes les actions quelles qu'elles soient et de les punir à hauteur des faits ainsi que de cibler les responsables des derniers événements. Pour nous ce sont les points les plus importants et l’État d’Urgence est là pour donner les moyens d’agir dans ce sens-là et d’agir concrètement. Si cela ne suffit pas et qu’il y a

d’autres choses à mettre en place, la première étape sera d’en discuter avec le Procureur et les forces de l’ordre. Si on estimait qu’actuellement il y avait des mesures spécifiques à prendre en plus de ce qui a déjà été fait, elles auraient été prises.”


L’Indépendant : Est-ce que le communiqué concernant l’État d’Urgence est en réaction à celui de la mairie sud, publié plus tôt, ou était-il déjà prévu tel quel ?

“Pas du tout. Hier ou avant-hier j’ai eu M. Balthazar de la mairie sud au téléphone, je lui ai expliqué qu’il y allait avoir des mesures mises en place Nous devions voir avec le Bureau du Procureur pour concrétiser ces mesures de façon légales et efficaces. Pour nous jusqu’aux événements d’aujourd’hui l’État d’Urgence n’était pas une nécessité. Nous avons décidé de l’appliquer en réaction aux événements d’aujourd’hui et pas en réaction de la communication de la mairie sud."

Conseiller Blake : "Pour information la mairie du sud a été prévenue plus de 30 minutes avant son communiqué de la mise en place de l'état d’urgence.”


L’Indépendant : Vous confirmez que les deux maires ont été prévenus à l'avance que vous alliez placer l’Etat en État d’Urgence ainsi que de la politique zéro sur les groupes de la Mano et des Lost ?

“Oui, à partir du moment où on a pris cette décision les mairies ont été prévenues dans la foulée ainsi que le Bureau du Procureur pour mettre ça en place correctement.”

Comment cela a-t-il été communiqué ?

“Via les canaux. On n’a pas donné spécifiquement le nom de “politique zéro” mais nous leur avions bien dit qu’il y aurait un ciblage spécifique des Lost et de la Mano.”


L’Indépendant : Il y a-t-il une corrélation entre l’enlèvement des forces de l’ordre par la Mano et les Lost avec leur guerre actuelle ?

“On ne sait pas pourquoi ils sont en conflit, donc je ne peux pas me prononcer. Pour les deux prises d’otages étaient très distinctes l’une de l'autre, je ne pense pas que ce soit en lien.”

“Pour conclure, nous avons discuté rapidement avec la commission employé. La commission patron ne nous a pas contacté au préalable, avant leur communiqué. Pour la commission employée nous avions bien spécifié qu’on allait mettre en place des mesures et qu’on attendait juste de pouvoir discuter directement avec le Bureau du Procureur avant de les mettre en place. Dernier point qui est très important. Si nous mettons tout cela en place et si la politique de sécurité est ainsi de base c’est que l’on considère que toutes ces actions ne sont pas tolérables. C’est avant tout pour cela que l’on réagit et pour éviter un maximum que ça se reproduise.”